septembre 06, 2006

Grande recette nationale de musique

Mardi, 5 septembre 2006, 18h15. Déjà plus d'une heure que je suis entré au Club Soda. Comme une centaine d'autres curieux, je suis venu assister au lancement du dernier album des Trois Accords. Prévu à 17h00. Mais c'est normal, il y a des journalistes gourmands, des caméramans avides de prises absurdes des membres du groupe. Et de toute façon, les organisateurs ont eu la bonne idée de faire jouer le nouvel opus en musique de fond. À 18h15, je marque officiellement le début de ma troisième écoute.

Le premier feeling sur cet album est un peu décevant. N'importe qui dirait la même chose, n'importe qui a aimé Gros Mammouth, j'entends. Difficile d'évoluer après un si grand succès commercial. Mais quand même, après une écoute, j'étais déboussolé. Moi, grand fanatique des Trois Accords, qui ai assisté trois concerts de leur première tournée, je perdais prise à cette première écoute.

Le son est un peu différent. Plus de résonnance, plus de sonorité studio. Les voix aussi sont pas mal différentes. Simon se lance dans les jeux de voix aigüe, dans les immitations féminines et pré-juvéniles. Olivier prend pour sa part ses distances de l'activité vocale (probablement pour se consacrer à des tâches plus administratives au sein du groupe). Alex fait encore quelques back vocals discrètes.

Musicalement, j'ai l'impression qu'ils deviennent plus calmes. À mon grand désagrément. Ce que j'appréciais particulièrement de leurs chansons (surtout en show), c'était justement ces emportements musical et lexical, qui conjugués, donnaient une explosion d'absurde. Mais après plusieurs écoutes, j'avoue que je retrouve certains beats punkys mieux dissimulés. Avec une plus grande aisance en tout cas.

Heureusement pour les fans, les gars ont décidé de mettre au moins une toune testée en show, soit "Je t'ai vu me voir". Une toune qui bouge. On aurait aimé Zing Zing, on aurait aimé Benoît, on aurait aimé C'est bon du jambon. Mais on a droit à d'autres chansons. Tant mieux.

Bref, l'album est à écouter quelques fois, avant de vraiment se faire une idée. C'est certain, les radios commerciales qui courent les fillettes de 14 ans pour auditoire général trouveront leur compte. Plusieurs chansons autre que Grand Champion méritent d'être popularisées.

Vivement le 24 novembre pour leur show Montréalais de la nouvelle tournée, au Métropolis !

août 30, 2006

Motivation et détermination - The First of Me

On le sait bien, l'automne est le temps des décision. À l'instar du printemps, l'autre saison charnière, elle sert de période ménage. On a un surplus de motivation, on entreprend des projets. Pour preuve, le retour à l'école, les projets professionnels qui reprennent vie après la léthargie estivale.

Depuis quelques temps, j'étudie un texte du dernier album d'Hoobastank, intitulé "The First of Me". Plusieurs diront "Bah, p'tite toune mélo" sans trop s'attarder au message (plutôt, aux messages).

Premièrement, pour le contenu, cette chanson est parfaite. Le genre de texte que je ne suis même pas gêné de dire "J'aurais aimé écrire ça !". C'est l'introspection d'un gars qui arrive à la croisée des chemins, au début de sa vie adulte, et qui se rend compte que la société est un moule. Un gigantesque moule dans lequel il a été fondu. Il doit prendre des décisions, maintenant, qui feront en sorte qu'il deviendra le "prochain d'eux" ou le "premier de lui". En période de remise en question, de réflexion sur sa vie, ses buts, cette chanson brasse les idées.

Puis, au fil du texte, l'auteur compare le fait de suivre le chemin tracé à vendre son âme. Il refuse de vendre son âme sur une tablette, comme tous les autres. Il n'y arriverait pas. Et lorsque la réflexion sera terminée, qu'il aura résisté à cette bataille intérieure qu'un jour ou l'autre nous livrerons tous, il saura qu'il est assez bon pour laisser sa marque. Il se sera prouvé qu'il est né non pas pour suivre la trace des autres, être le "prochain d'eux", mais plutôt pour ouvrir un nouveau chemin pour les autres, être le "premier de lui".

Traduit, le texte peut sonner bizarre. Mais de surcroît, la musique, pas très rock mais pas ballade non plus, ajoute un beat un peu stressant. Mais un bon stress. Comme quelqu'un qui se réveille le matin. Un rythme entraînant, qui ouvre l'esprit, qui supporte la détermination. On imagine facilement l'auteur révéler son texte de sa voix motivée, levant tranquilement la tête jusqu'à atteindre l'horizon.

Réellement, de l'excellent travail. À ce jour, la plus puissante composition d'un groupe qui, j'espère, continuera de m'étonner. Écoutez la chanson, écoutez le texte.

The First of Me peut être entendue sur Every Man for Himself du groupe Hoobastank

août 20, 2006

Face à la demande...

Face à la demande incessante des visiteurs de clichés, j'essaierai, même en cette période de déménagement, d'alimenter un peu le contenu :0)


A Bronx tale

mai 31, 2006

Enfin !

Regardez la date. Respirez. C'est tout ce que j'ai à dire.

Merci Monsieur Charest !

mai 17, 2006

Albany, NY - Jour 3

Après une journée de réunions complète, aujourd'hui était la journée à moitié libre. Vers 11h00, je suis allé à l'aéroport louer une voiture. Avis ne me permet pas de me rendre à Montréal, Budget non plus, Enterprise non plus... Hertz accepte ! Mais à une somme de 200$ par jour, américains, et je suis pris avec un Trail Blazer de Chevrolet. Pour les non-initiés, un Trail Blazer c'est un SUV plus grand que moi, 4x4, qui a trois fenêtres de large... de côté !



Donc à l'aide de ce merveilleux véhicule, qui roule bien mais qui se stationne mal en paralèlle, je me rends au centre-ville d'Albany. Je vois le Capitol, lieu de politique de l'État, "The Egg", géante salle de spectacles en forme d'oeufs, le Pepsi Arena, les buildings du centre-ville. Après quelques clichés sous la pluie, je décide d'aller faire un tour au Musée de l'État de New York. De belles expositions sur l'histoire de l'État, surtout de la ville de New York, et, le plus touchant, une exposition sur le WTC. Un camion de pompiers sur lequel sont tombés des morceaux de pierre, des morceaux de voitures de police, des plaques de numéros d'ascenceur, des souvenirs laissés dans les bureaux des employés, les lettres de la compagnie AON à moitiée sous la poussière, des téléphones publics bossés et poussiéreux, etc. Et, de tous les articles, le drapeau qui flottait sur une des deux tours en ce matin ensoleillé du 11 septembre 2001.



Bref, après cinq minutes, la larme à l'oeil et les souvenirs qui reviennent, cette exposition est très touchante. J'ai adoré ! En boucle, le film 9/11 des comparses français défile. Une acquisition que tous devraient faire.

À la sortie du musée, marche dans les rues du centre-ville économique qui s'emplissent de voiture et de travailleurs sur le retour. Rapidement, les rues se vident de nouveau. Je suis maintenant en face de l'Université de l'État de New York. Elle est géante. Récente. Belle. Juste en face, le Red Square. Un bar étudiant. Vide et sans fumée. Je m'installe... pendant trois heures ! Les clients sont sympathiques et la serveur accueillante. La faim me rattrape.

Je me rapproche de l'hôtel et trouve un bon steakhouse, recommandé. Finalement pas si bon que ça... mon "well done steak" arrive brûlé sur les deux côtés, le riz croustillant est détrempé et mou... Bref, j'aurais dû mangé à un endroit moins reconnu.

Retour à la chambre d'hôtel, je dois relaxer un peu. Je pars pour Montréal dans 7 heures !

mai 16, 2006

Albany, NY - Jour 1 : Luc et sa chance !

Nouveau voyage d'affaires : Albany, NY. En regardant le plan, on peut croire que le meeting se passe... nulle part ! Et on a raison. Le voyage en voiture s'est bien passé, même si le conducteur allait à 140 km/h pendant que les trois autres dormaient. Il a plu, et plu, et replu.

En chemin, nous sommes arrêtés aux lignes (évidemment) pour acheter alcool et tabac. J'ai acheté un beau gros 40oz de Rhum Jamaïcain, pour la modique somme de 17,95$. J'en mets à la SAQ normalement plus de 35$ ! Bonne économie. On continue la route, jusqu'à Plattsburgh. On arrête au Pizza Bono pour déguster un excellent Philly (sous-marin à pain mince, avec du steak tranché très mince, et de la mozzarella). Bon service, bonne entrée de pain moelleux trempé d'huile, de morceaux d'ail et de fromage parmesan ! Nous rembarquons sur la I87, direction Albany.

Arrivés à Albany, c'est encore la pluie. On cherche un peu notre route, mais on trouve rapidement. On aperçoit mon hôtel (car l'hôtel où tout le monde va était plein au moment de ma réservation), au milieu de nulle part, juste à côté (vraiment à côté) des pistes d'atterissage de l'aéroport de la ville... Le service à l'hôtel est bizarre, je dois travailler fort avec le sans fil pour avoir accès à internet, mais ça fini bien. Je relaxe une bonne heure dans le lit avant la réception de bienvenue, et je pars à pieds direction Desmond Hotel, qui, m'a-t-on dit lors de ma réservation, est à proximité du mien. Après quinze minutes de marche sous la pluie, les pieds trempés, la bouette jusqu'aux genoux, je décide de m'arrêter sur le bord de la route (je suis déjà sur le bord de la route, dans le gazon, parce que c'est une voie rapide et qu'il n'y a juste pas de trottoir) et de demander à un policier arrêté là si je suis sur la bonne route. Il est étonné que je marche pour me rendre là, puisque c'est très loin, dit-il, et en plus il n'y a pas de trottoir sur cette route. J'avais remarqué ! Il me propose d'embarquer (!) pour me faire le lift jusqu'à l'autre hôtel. J'accepte volontier.

Ma première expérience à l'arrière d'une voiture de police. Je dois dire que c'est pas le confort et j'ai remarqué que cette voiture avait déjà accueilli des gens enragés :0) Les bancs déchiquetés. Arrivés à l'hôtel, je le remercie et essaie d'ouvrir ma porte. Évidemment, voiture de police, je ne peux pas. J'attends qu'il me l'ouvre et je me rends à ma réception. Enfin.

Bon souper, trop de gâteaux, pas assez de bière, j'attends une heure et demie mes confrères pour sortir, pour ensuite me faire dire que finalement ils ne sortiront pas. Ok. Pendant ce temps, j'ai une discussion avec des confrères qui me disent que l'hôtel en face, le Wingate, charge pas cher et j'aurais dû aller dormir là au lieu d'à 2 km. Ma réaction !! J'explique.

Avant de réserver à mon super hôtel "The closest to the aiport" (et putain c'est vrai), je me suis renseigné à ce Wingate que m'avaient conseillé les gens du Desmond, complet. Je me suis rendu sur le site web du Wingate Hotel, site qui m'indiquait que les chambres étaient au-dessus de 300$ !! J'ai donc réservé ailleurs.

Donc revenons à cette soirée, où après avoir entendu de mon confrère que le Wingate faisait de bons prix, je m'y rends à pied pour constater qu'en effet, les chambres sont 125$, et qu'il y a eu un problème avec le site web ! Et ils sont maintenant complets !! Malchance...

Bref, je suis nulle part, pris avec des SHSSHSHHSHSHSH d'avions qui décollent et atterissent, y mouille tout le temps, et mon hôtel est cheapo. Pour éviter de marcher tout le temps, je vais tenter de louer une voiture. Ce sera plus pratique.

avril 23, 2006

Un nouveau-né !

En raison du début des séries éliminatoires au hockey, il est possible que cliches soit un peu laissé à part. Mais il est toujours possible de suivre mes commentaires sur le hockey sur Ça sent la coupe !, un nouveau blog consacré au hockey. Chiâlage, déceptions et vengeances au menu !

avril 12, 2006

Beep ! Beep !

En ce beau mardi après-midi, promenade dans le désert à la Southwest Mountain, en banlieue de Phoenix. Une belle réserve naturelle juste à côté d'une grande réserve d'indiens. La marche est moins difficile que celle de Camelback Mountain, moins dangeureuse aussi, mais les paysages saisissants !



Il y a beaucoup de vie animale. Nous avons croisé des lapins sauvages, plusieurs sortes d'oiseaux, des ROADRUNNERS (oui des vrais, qui courent), des lézards, des insectes. Vraiment impressionnants de cotoyer tout cela en marchant dans la nature. On aurait pu aussi croiser des ours, des coyotes ou même, des indiens ! Mais heureusement, nous n'avons rencontré aucun de ceux-là !



Je suis également allé, en soirée, au jardin botanique de la ville pour un souper. Mais je ne me suis pas beaucoup promené; il faisait noir et la plupart des sentiers nous étaient bloqués d'accès. C'est pas grave, sur la montagne, j'ai vue les paysages que je voulais voir.

avril 11, 2006

Camelback Mountain... and hockey !

Ce matin, réveil matinal à 6h30 afin d'aller grimper la fameuse Camelback Mountain qui, apparemment, en fait frémir plus d'un. Selon des habitués, il n'est pas rare qu'un hélicoptère monte chercher un aventurier mal pris. Je n'y croyais pas.

Avant d'aller sur cette montagne, il était nécessaire de s'équiper d'une bonne crème solaire et d'une casquette officielle des Diamond Backs de l'Arizona. Avec ces articles en poche, direction Camelback Mountain (voir photo d'hier...) !

Au début, des marches en bois. Le cardio est sollicité, il est bien vrai. Mais rien pour faire rebrousser chemin au gars qui en a vu d'autres. Juste avant... ça !



Et ceci n'était pas le bout le plus ardu. À certains endroits, j'ai même pensé rebrousser chemin. Il est vrai qu'une paire d'espadrille de tennis, à semelle plate et glissante sur roches polies, ce n’est pas le meilleur des mélanges. Mais imaginez la photo ci haut, pendant une heure et quart de marche. Oui, la torture. Mais la vue en valait la peine.



Et pas question de débouler, parce que qui s'y frotte...



Ensuite, retour à l'hôtel pour le travail sérieux. Un bon comité, bien dirigé, et ensuite, tentative de louer une voiture pour aller voir les Coyotes de Phoenix. Mais indécision personnelle, je n'arrive pas à me décider. Finalement, j'opte pour une marche au soleil vers Old Town Scottsdale à la recherche d'un fameux Grill appelé le Yardhouse. Un sport pub où j'ai rencontré un sympathique serveur amateur de hockey et où j'ai pu voir la partie Boston-Washington (je mangeais, donc je ne me suis pas endormi, rassurez-vous)... mais aussi les updates du matche des Canadiens !!! Ouais !



Sans oublier, à l'aller, cette merveilleuse vision impossible au Québec... quel dommage !

avril 09, 2006

Scottsdale, Arizona. Jour 2.



Je suis arrivé hier soir, il faisait déjà nuit. C'est le désert. Il y a des cactus dans les rues, des palmiers partout. Et des orangers, évidemment. Il fait chaud, il fait soleil. Bref, on est bien.

avril 07, 2006

Caïman Fu = carrément fou



Je n'étais jamais allé les voir en spectacle. J'aurais jamais dû attendre aussi longtemps... Les talents d'actrice d'Isabelle Blais mélangés à une mise en scène incroyable et à des musiciens bourrés de talent font en sorte que la soirée au Lion d'Or est d'une impressionnante qualité. Merci Émilie pour ce cadeau !

mars 08, 2006

L'erreur "Patrick Roy" se répète... dix ans après !

Montréal n'a pas eu sa leçon avec Roy. Gainey veut être certain que les fans le déteste encore plus dans ses décisions. Pour ce faire, il garde sous sa main des attaquants à la formation de clown et de tricot, les défenseurs moulés sur du fromage suisse... et il échange un gardien à deux ans de son apogée contre, justement un Suisse fini !

Échanger Théodore contre un bon attaquant, j'aurais dit c'est bien. Échanger Théo contre un gros colosse qui ne réfléchi pas avant de développer les 30 km/h maximum qu'il peut atteindre avec ses jambes de boeuf, j'aurais dit peut-être. Mais échanger un gardien contre un gardien, alors que Huet et Danis se partagent la tâche à merveille, c'est douteux.

D'ici jeudi, Gainey doit absolument se débarasser d'Aebisher. Je souhaite que le p'tit Bob ait un lapin dans son chapeau magique, qu'il va jumeler Komisarek avec Aebisher (ou tient, Streit et Aebisher, deux Suisses) pour aller mettre la main sur Bertuzzi, ou un autre joueur qui peut apporter quelque chose à Montréal.

En tout cas, Théodore n'en a pas terminé avec ses malheurs ! Au moins, que quelqu'un l'avertisse qu'il y a aussi de la glace sur les escaliers à Colorado ! :0)

mars 05, 2006

Fier de moi !

Je suis fier de moi ! Ma première année depuis bien longtemps que je ne regarde pas les Oscars. Je ne serai donc pas déçu du choix des films gagnants, et je n'aurai pas à supporter les clips vidéos de "Brokeback Mountain" durant toute une soirée. Formidable !

mars 02, 2006

Un précédent ?

Un couteau à l'école, c'est maintenant légal. Question de religion. D'accord.

Mais que se passera-t-il lorsque les Räéliens éliront le douze pompeux comme signe religieux ? Ou la scie ronde ? Si mon enfant fait partie d'une secte où cracher au visage des autres enfants fait partie des moeurs, le laissera-t-on faire ? J'espère bien...

février 28, 2006

Motivateur personnel

Pour ceux qui, comme moi, craignent les motivateurs autant que les psychologues, je vous suggère d'aller rendre visite à mon ami Steve au stevepavlina.com. Rempli d'articles et d'archives de motivation diverses, cet homme simple a réussi à vivre sans travailler, devenir végétarien par étapes, générer des revenus de plus de 6000$ par mois avec un simple blog et du trafic de 700 000 visiteurs par année ! Nourrissez-vous de ses articles à grande eau, ils sont très entraînants !

février 19, 2006

Un monde de pub

Court message en ce dimanche soir : j'ai récemment procédé à l'ajout de discrètes annonces sur mon blog. Le but n'est pas de polluer l'aspect du blog; seulement de tenter l'expérience d'AdSense. Vos commentaires sont les bienvenus, ainsi que vos visites sur les pubs.

février 12, 2006

janvier 10, 2006

janvier 03, 2006

La comédie a assez duré !



Ce sera la seule fois. Je m'en excuse. Je dois en parler.

Quand est-ce que les clowns à gilets blancs barrés noir qui défilent sur la glace et accrochent nos joueurs vont-ils apprendre à arbitrer ?

Encore une fois ce soir, gros match contre une équipe assez nulle, et par non pas une, non pas deux, mais par trois fois l'on se fait rire au nez par ces arbitres de ligues de garage. Un but à l'aide d'un patin, un coup de bâton au visage d'un défenseur pour pouvoir faire un autre but et un hors jeu trop évident qui n'est même pas signalé !

À tous ces ratés du hockey, qui défilent sur la patinoire du Centre Bell dans l'espoir d'attirer l'estime des partisans, tenez-vous le pour dit : on vous déteste.

Et à ces Montréalais qui encourageaient l'étudiant de secondaire 5 surestimé qui parle à moitié franglais, vous êtes à Montréal, c'est l'équipe en rouge qu'il faut applaudir; vous savez celle avec un gardien de but qui s'intéresse plus à son image qu'à ses performances.

Voilà, je ne parlerai plus de hockey sur ce blog réservé à l'art. Promis ;)